Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Polars.etc.
  • : Blog pour les amateurs de polars et thrillers...ainsi que pour ceux qui veulent découvrir la criminologie...
  • Contact

Boss

  • Polars Etc
  • http://polars.etc.over-blog.com/
  • http://polars.etc.over-blog.com/

Archives

14 octobre 2015 3 14 /10 /octobre /2015 11:02

2003, Nancy. Le commissaire Ney est confronté à l'assassinat de deux religieuses qui vont le conduire jusqu'à Madrid sur les traces d'un suspect et le mêler à la mise à jour d'une affaire sordide qui a duré de 1939 à 1986. Très rapidement, il devient évident que le mobile du meurtre est à recherché dans le passé des deux femmes assassinées au cœur même de leur mission quotidienne. De quel crime du franquisme ont-elles été complices voire actrices ? De quelles abjections se sont elles rendues coupables ? Seules ou avec la bénédiction de leur Ordre. Pour Ney et le juge de Breuil, ll va falloir exhumer une vérité que tout le monde semble vouloir garder secrète. Là où le polar croise l’Histoire dans ce qu’elle a de plus tragique

Diego ARRABAL "Jour de colère" Editions Arcane 17, 275p, 22€

Diego ARRABAL "Jour de colère" Editions Arcane 17, 275p, 22€

7/10

Diego Arrabal reprend le thème des enfants enlevés à leurs parents par le franquisme. Le sujet est traité avec toute la rigueur scientifique, les recherches sont approfondies et utilisées avec habileté. L'auteur habille l'Histoire par un cadre habituel : Nancy, le commissaire Ney et le juge Breuil .

Ainsi, un sujet brûlant et douloureux est développé sous forme de polar qui y gagne en intensité. Ce livre est à recommander !

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
12 octobre 2015 1 12 /10 /octobre /2015 20:40

Ci Song est un jeune garçon d’origine modeste qui vit dans la Chine du XIIIe siècle. Après la mort de ses parents, l’incendie de leur maison et l’arrestation de son frère, il quitte son village avec sa petite sœur malade. C’est à Lin’an, capitale de l’empire, qu’il devient fossoyeur des « champs de la mort » avant d’accéder à la prestigieuse Académie Ming. Son talent pour expliquer les causes d’un décès le rend célèbre. Lorsque l'écho de ses exploits parvient aux oreilles de l'empereur, celui-ci le convoque pour enquêter sur une série d'assassinats. S'il réussit, il entrera au sein du Conseil des Châtiments ; s'il échoue, c'est la mort. C'est ainsi que Cí Song, le lecteur de cadavres, devient le premier médecin légiste de tous les temps. Un roman, inspiré par la vie d’un personnage réel, captivant et richement documenté où, dans la Chine exotique de l'époque médiévale, la haine côtoie l'ambition, comme l'amour, la mort

Antonio GARRIDO "Le lecteur de cadavre" Le livre de poche, 756 p, 8.60€

Antonio GARRIDO "Le lecteur de cadavre" Le livre de poche, 756 p, 8.60€

7/10

Une lecture réservée aux passionnés d'Histoire de la Chine et à ceux qui veulent la découvrir.

Ce roman est très fouillé : vous remonterez dans la Chine du XIII ème siècle sans problème. Tout est évoqué  avec minutie : architecture urbaine, campagne, costumes, traditions, sans oublier les ambiances, les odeurs. C'est un véritable bain, une immersion !

Le héros Ci Song, respectueux des traditions, attaché à sa famille, jeune garçon qui ambitionne de devenir un fonctionnaire zélé, a la fâcheuse tendance de reproduire les mêmes erreurs, ce que j'ai trouvé un peu lourd...

Il arrivera jusqu'à la cour de l'empereur par sa connaissance des lois et des causes de la mort.

  « Le lecteur de cadavres » est donc le premier médecin légiste. De nombreux passages peuvent être un peu « rudes » à la lecture.

Ci Song est aussi doté de capacités physiques assez surprenantes que je vous laisse découvrir.

 

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
10 octobre 2015 6 10 /10 /octobre /2015 21:53

Retraite ou pas retraite ? L’inspecteur Harry Bosch s’interroge encore quand on le charge de deux dossiers… Le premier – le viol suivi du meurtre d’une jeune fille – remonte à 1989 et les tests ADN viennent de désigner le coupable : Clayton Pell… 8 ans au moment des faits ! Peu crédible, donc. Dans le même temps, Bosch est appelé sur une scène de crime au Château Marmont, le célèbre hôtel de Los Angeles, où un homme est tombé du septième étage. Suicide, crime ou accident ? Le père de la victime, un conseiller municipal très puissant à L.A., veut en avoir le coeur net et exige assez curieusement que l’enquête soit confiée à Bosch, son vieil ennemi de toujours. Politiciens corrompus, prédateurs sexuels… Harry Bosch a fort à faire, et surtout pas le temps de s’apitoyer sur lui-même

Michael CONNELLY "Ceux qui tombent" Edition Le Livre de poche, 8.10€

Michael CONNELLY "Ceux qui tombent" Edition Le Livre de poche, 8.10€

6/10

Sur Polars etc, on connaît les aventures de Bosch en long, en large et en travers. J'ai lu quasi tous les romans le concernant, tous ont été chroniqués, et une page est entièrement dédiée à Connelly. L' opus "Les 5 dragons" a été une telle déception, que je me demandais même si je relirais un Connelly un jour. J'ai pensé qu'il avait sombré comme de nombreux auteurs (tels que Coben ou Cornwell) dans la facilité du marketing, et aux sénarios grandiloquents sans saveurs...

Dans "Ceux qui tombent", Harry poursuit une double enquête: celle d'un meurtre vieux de 20 ans dont le suspect principal était un enfant au moment des faits...(premier problème...) et celle concernant la mort suspecte du fils de Irving Irving, ancien chef de la police aujourd'hui conseiller municipal de la ville.

J'ai apprécié de retrouver Bosch, son caractère et son univers quelque peu chamboulé par la présence de sa fille Maddie, adolescente maligne dont il a à présent la charge. On apprend que cette dernière désire entrer dans la police comme son paternel, et qu'elle s'intéresse aux affaires qu'il traite. Alors que le policier a des doutes sur la poursuite de sa carrière, qu'il redoute (à raison) d'avoir moins de flair, et qu'il s'interroge sur sa volonté de prendre sa retraite, il s'agit pour l'auteur, d'une façon, pas si habile que ça, de trouver en Maddie, un successeur à un Bosch vieillissant...

La double enquête est efficace mais se déroule sans surprise. Bosch est un peu dans la surenchère encore une fois.

Reconciliée avec Connelly mais pas convaincue à 100%.

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 18:01

Parfois, Mickey aimerait bien être un lycéen comme les autres. Être accepté par les membres de son équipe de basket, traîner avec ses amis, sortir avec la belle Rachel... Mais Mickey est un Bolitar, et avec le nom, vont les responsabilités.
Celle d'élucider une série de disparitions qui ébranlent son lycée. Celle d'aider ce Jared que son amie Ema n'a jamais rencontré, mais dont elle se sent déjà si proche sur la Toile, et qui s'est volatilisé. Celle, enfin, de percer le mystère autour de la mort de son père.
Oui, Mickey est bien un Bolitar et, comme son oncle Myron, il va devoir apprendre le prix de la vérité.

Harlan COBEN "A toute épreuve" Editions Pocket, 348p, 7.30€

Harlan COBEN "A toute épreuve" Editions Pocket, 348p, 7.30€

3/10

La quatrième de couverture annonce comme personnage principal, Mickey Bolitar, des disparitions et un mystère autour de la mort de son père.

Je me plonge sans tarder dans la lecture....et... Que de déceptions ! Personnellement, je trouve cette histoire à peine digne d'un lectorat « jeunes adolescents » : platitude de l'écriture, intrigue évanescente, les rebondissements et la fin sont improbables.

Où est passé le Coben des débuts?

A oublier...

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 17:47

La saison des pluies tarde à venir en ce mois de janvier et la Namibie courbe l'échine sous la chaleur et la sécheresse. A Windhoek, la capitale, un homme est abattu à la kalachnikov à travers les barbelés électrifiés de sa propriété. C'est le premier d'une série de meurtres. Les victimes – riches et blanches – ont, vingt ans plus tôt, trempé dans l'assassinat d'un avocat, Anton Lubowski. Clemencia Garrise est chargée de l’enquête. Elle est noire, originaire d'un township. Des exactions de l'apartheid et du combat pour l'indépendance de la Namibie, elle ne connaît que les histoires qu'on lui a racontées. 

Bernhard JAUMANN "L'heure du chacal" Editions le Livre de poche, 384p, 7.10€

Bernhard JAUMANN "L'heure du chacal" Editions le Livre de poche, 384p, 7.10€

6.5/10

Une enquête menée par Clemencia Garrise, que nous vous avons déjà présentée, enquêtrice noire, vivant dans un township avec sa famille si particulière. Cette fois-ci, le roman est différent car les derniers meurtres dont elle est chargée, la renvoie très vite un bond en arrière de plus de vingt ans dans l'histoire politique de la Namibie avec l'assassinat d'un leader, Anton Lubowski.

L'auteur s'est inspiré d'un fait réel qu'il a réinterprété et, comme d'habitude, le roman est riche en informations/révélations sur l'histoire du pays, les diverses mentalités. La recherche de la vérité est donc compliquée par les pressions exercées par les autres policiers ou autorités.

La note tient compte du fait que le roman peut sembler difficile à lire en raison du contexte traité. Clemencia ne dément pas sa réputation de fin limier.

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
23 août 2015 7 23 /08 /août /2015 11:00

Une nuit de tempête le cadavre d’une femme assassinée est retrouvé sur le lac gelé de Torneträsk. La victime, comme son frère jumeau, travaillait pour la société minière internationale Kallis Mining, sous les ordres de l’intriguant et richissime PDG, Mauri Kallis. Pour démêler les fils de cette société tentaculaire, les inspecteurs Anna-Maria Mella et Sven-Erik Stalnacke font appel à l’avocate Rebecka Martisson qui, de retour dans sa région natale, vient de décrocher un poste au bureau du procureur.

Une sombre affaire d’argent et de pouvoir, un trio aussi sulfureux que dangereux entraînent Rebecka sur une piste noire. Asa Larsson approfondit ce style qui la rend incontournable : une intrigue complexe avec pour toile de fond les somptueux paysages enneigés de Laponie, un suspense haletant, une écriture singulière, envoûtante et une grande sensibilité psychologique.

Asa LARSSON "La piste noire" Editions Albin Michel, 464 pages, 22€

Asa LARSSON "La piste noire" Editions Albin Michel, 464 pages, 22€

7.5/10

On retrouve Rebecka Martisson, ainsi que les policiers Anna-Maria Mella et Sven Erick,  découverts dans "Le sang versé" que j'avais beaucoup aimé!

Je me suis de nouveau régalée à découvrir les paysages suedois. Les descriptions d'Asa Larsson sont particulièrement précises et fluides notamment quand il s'agit d'animaux. Les nouveaux personnages sont quant à eux remarquablement construits notamment celui d'Ester, petite prodige de la peinture. Le trio de l'entreprise Kallis est aussi très particulier! L'intrigue est maitrisée, équilibrée, le suspense savament dosé.

Un final ou tout s'enchaine mais un peu trop rapide à mon goût. On aurait pu s'attarder davantage sur certains points.

Cet opus confirme le talent certain de l'auteure.

Un très bon moment de lecture.

 

Sortie Septembre 2015

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
18 août 2015 2 18 /08 /août /2015 20:44

Un ancien terroriste gauchiste repenti se fait assassiner à Deuil-la-Barre, ville de la banlieue nord où il vit depuis sa sortie de prison. Quelques semaines plus tard, le curé de l’église Saint Pierre de Neuilly subit le même sort. Les deux homicides ont été perpétrés avec la même arme : un revolver Smith & Wesson modèle 10. Les victimes avaient participé à une émission de téléréalité ayant pour thème : la rédemption chez les criminels. Le groupe 4 de la Brigade Criminelle où officie toujours le lieutenant Enzo Verdier désormais sous les ordres du commandant Pecqueux va se lancer dans une nouvelle chasse au serial killer. Lors de leur enquête, les policiers se confronteront à des milieux aussi dissemblables que le clergé, la noblesse, l’ultra gauche radicale, les escorts boys, les zonards, les indicateurs, les squats, les numismates, le grand patronat, les brocanteurs, les cités de banlieue… Durant cette quête de la vérité, ils auront une obsession : interpeller le tueur avant qu’il ne fasse une autre victime.

Emmanuel Varle "Rédemption fatale" Les presses littéraires, 447 pages, 14€

Emmanuel Varle "Rédemption fatale" Les presses littéraires, 447 pages, 14€

6.5/10

Deuxième roman qui reprend certains personnages du précédent : « Le cirque s'invite au 36 » mais qui peut se lire de façon tout à fait indépendante. Deux meurtres présentent des points communs : le premier est celui d'un ancien activiste de gauche repenti, le second, celui du prêtre qui l'a conduit vers la rédemption. Le groupe de la Brigade criminelle chargé de découvrir le responsable va remonter de nombreuses pistes qui servent de prétextes à l'auteur pour présenter des domaines très divers et apporter une foule de précisions, parfois très pointues. L'intimité des policiers est aussi largement dévoilée. Cette abondance peut séduire ou peut gêner le lecteur plus attaché à la réalisation de l'intrigue. Elle densifie livre et lecture, en particulier par la tendance aux phrases longues et complexes.

Des progrès notables en écriture m'ont rendu la lecture plus agréable.

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
15 août 2015 6 15 /08 /août /2015 16:26

Jayne Hall et Steelie Landers sont anthropologues légistes et dirigent l’Agence 32/1 spécialisée dans l’identification de personnes disparues. Dépêchées au Rwanda par l’ONU quelques années auparavant, elles y ont fait leurs armes en fouillant les charniers. Depuis leur retour aux Etats-Unis, elles ont mis leur savoir-faire au service de la justice et de la police. Lorsque des restes humains sont découverts sur le bord d’une autoroute de Californie, l’agent spécial Scott Houston se tourne tout naturellement vers les deux femmes. Il est loin d'imaginer que sa requête les mènera, au péril de leur vie, sur les traces d’un tueur en série.

Clea KOFF "Freezing" Le livre de poche, 56p, 7.60€

Clea KOFF "Freezing" Le livre de poche, 56p, 7.60€

6.5/10

Le roman nous propose l'enquête de Steelie et Jane, deux anthropologues qui ont travaillé dans les charniers du Rwanda.  De retour aux Etats Unis, elle ont créé une une organisation pour identifier les personnes inconnues dans les morgues américaines. Les deux jeunes femmes au caractère bien trempé, sont plutôt attachantes.
Deux agents du FBI vont les entraîner dans la traque d'un tueur en série.
Pas de surprise sur l'identité du meurtrier. Implication un peu trop personnelle des personnages principaux dans l 'enquête.
Pas de grande originalité dans l'intrigue mais l'auteur a bien mené son affaire et offre un roman distrayant.

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0
3 août 2015 1 03 /08 /août /2015 14:04

Engagé comme garde du corps par un joueur qui a du mal à rembourser ses dettes, Varg Veum se retrouve mêlé à une série de morts étranges assaisonnées d’un soupçon de chantage… Seuls indices pour mener son enquête : le souvenir d’une nuit d’amour alors qu’il était étudiant et la photo de quatre hommes autour d’une table. Commence alors un marathon dans les rues d’Oslo qui mènera le privé norvégien bien plus loin qu’il ne pouvait le soupçonner…

Gunnar Staalesen "Les chiens enterrés ne mordent pas" Folio Policier, 452p, 8€

Gunnar Staalesen "Les chiens enterrés ne mordent pas" Folio Policier, 452p, 8€

7/10

Roman que j'ai apprécié par son héros, le détective privé, Varg Veum, le narrateur, et l'écriture de Gunnar Staalesen. Le style est très particulier et l'humour comme les « coups de griffes » sont un régal.

Donc, Varg Veum est engagé comme garde du corps pour accompagner à Oslo un joueur, inquiet pour sa vie, qui va régler ses dettes avec un jour de retard. Bien sûr, son expérience de détective lui permet de noter des détails surprenants sans compter qu'il croise une ancienne conquête qui fait mine de ne pas le reconnaître …. Quand il apprend que le joueur a été assassiné dans le train de retour, la machine est lancée !

Varg ne recule devant aucun obstacle ou aucune intimidation ; son physique comme son intellect sont sollicités, et un retour en arrière dans son passé de jeune étudiant des années soixante. Son enquête est aussi une balade dans Oslo et une analyse critique de son évolution architecturale et sociétale.

Un héros, né en 1975, découvert un peu tard, mais que je vais sans doute retrouver très vite.

Partager cet article
Repost0
1 août 2015 6 01 /08 /août /2015 13:54

Inspecteur en chef de la brigade criminelle de West London, Rebecca Meredith était aussi championne d’aviron. Pour être sélectionnée aux Jeux Olympiques, elle s’entraînait souvent, seule, sur la Tamise. Alors, quand on découvre son cadavre flottant à la dérive, la thèse de la noyade accidentelle paraît peu probable. Menée par Duncan Kincaid et Gemma James, l’enquête se resserre vite autour de trois suspects : l’ancien mari de Rebecca, un membre de l’équipe de sauvetage qui a repêché le corps et un officier de police que Rebecca accusait de viol.
Pressés par Scotland Yard de résoudre l’affaire sans compromettre l’honneur de la police, Duncan et Gemma se retrouvent au cœur d’un scandale qui pourrait leur coûter leur carrière et peut-être aussi leur vie…

Deborah CROMBIE "Mort sur la Tamise" Edition le Livre de poche, 478 pages, 7.60€

Deborah CROMBIE "Mort sur la Tamise" Edition le Livre de poche, 478 pages, 7.60€

6.5/10

Atmosphère et style « pur british » avec le milieu de l'aviron, ses codes, ses traditions mais surtout, pour les championnes et les champions, une formidable renommée et l'ouverture de bien des portes !

Le meurtre d'une policière, Rebecca Meredith, qui voulait participer aux JO, sollicitent le service de recherche et de sauvetage de la Tamise, puis Scotland Yard et l'équipe du commissaire Duncan Kincaid. L'enquête est largement pénétrée par la vie privée des principaux personnages : bien sûr, Duncan reçoit une sérieuse aide de sa femme, Gemma James. L'affaire se révèle sordide, les compromissions sont la règle, le coupable est assez facile à identifier pour le lecteur …

Un écriture soignée, une documentation approfondie et bien exploitée, une atmosphère, des peintures précises des lieux et personnages vous amènent sans souci dans l'histoire. Mais, pour ma part, une présence un peu trop forte de l'intimité, de la vie privée, et des célibataires qui trouvent bien vite une « oreille » accueillante.

Le livre suivant est annoncé avec la promotion de Gemma à la criminelle.

 

Exemplaire reçu par service de presse

Partager cet article
Repost0